Marathonariat collectif | De jeunes entrepreneurs gonflés à bloc

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Environ 40 jeunes des cégeps de Chicoutimi et de Jonquière ainsi que de l’Université du Québec à Chicoutimi participent au «Marathonariat collectif» qui se déroule aujourd’hui au Cégep de Jonquière. Portés par des motivations différentes, ils comptent tous présenter une idée d’affaires flamboyante afin de remporter ce concours entrepreneurial.

 Le marathonariat est un défi d’une durée de 24h pendant lequel 14 équipes composées de cinq personnes doivent développer une idée d’affaires afin de la présenter à des juges en fin de journée. «En faisant ce défi, on sera encadrés par des professionnels qui pourront nous aider à trouver des pistes de solutions à nos problèmes», explique l’étudiante en Gestion de commerce, Émilie Lavoie.

Cette dernière forme une équipe avec ses amies qui étudient également en Gestion de commerce. Elles ont décidé d’unir leurs forces pour le défi. Les cinq filles comptent mettre à profit plusieurs de leurs connaissances. «Ce sont toutes des choses que l’on apprend en gestion de commerce, on va pouvoir les mettre en pratique grâce au marathonariat», explique Marie-Danièle Poulin. Elles ont déjà eu quelques tempêtes d’idées au cours des dernières semaines et une idée a déjà été trouvée avant le début du concours. «Pour l’instant, notre idée est à la base, on veut la faire évoluer le plus possible grâce à ce défi», précise Émilie Lavoie.

Pas nécessairement familier

Quelques étudiants qui ne sont pas familiers avec l’entrepreneuriat font aussi partie du défi. C’est le cas de l’étudiante en science de la nature au Cégep de Jonquière, Anne- Clara Girard-Tremblay. «Ce sont des aspects que l’on ne voit pas vraiment en Sciences de la nature, c’est une de mes amies qui m’a proposé de faire le marathonariat», explique Anne-Clara Girard-Tremblay.

Même son de cloche du côté de l’étudiant en Art et technologie des médias au Cégep de Jonquière Florian Patschkowski qui lui aussi a été influencé par son ami Alexis Basso. «Je vais pouvoir apporter mes compétences techniques pour le projet», explique Florian Patschkowski.

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