La transition écologique passe par la communication

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La communication était au centre des conversations,  jeudi matin,  lors du colloque virtuel sur la transition socio-écologique , Ensemble vers l’action. Les différents conférenciers et les acteurs impliqués dans les enjeux environnementaux ont expliqué un à un l’importance du dialogue et de la transmission du message écologique à travers les différentes plateformes comme les médias sociaux et traditionnels. 

Lors des conférences et d’une table ronde, les invités ont pu partager leurs connaissances sur la nécessité du dialogue et des stratégies de communication dans le but de bien comprendre les enjeux écologiques. « Le dialogue est un vecteur du changement », a souligné la professeure-chercheure en communication à UQAC et membre du comité de démarrage du Grand dialogue régional, Sophie Del Fa.

Au moment de la table ronde, la porte-parole en matière d’Environnement de Québec Solidaire, Ruba Ghazal, a expliqué la nécessité d’utiliser les réseaux sociaux pour véhiculer les différents enjeux environnementaux. « Avec les médias traditionnels, ce n’est qu’un court extrait de nos propos qui est partagé avec la population. En utilisant les réseaux sociaux, on peut s’assurer que l’entièreté de notre message soit véhiculée », a partagé Ruba Ghazal, qui a toutefois ajouté que les médias d’information sont aussi essentiels à la transition socio-écologique.

Les invités ont également mentionné l’importance de travailler dans l’unité. Ils ont rappelé que l’environnement est un bien commun, et qu’il faut éviter de diviser la population en ayant des discours « guerriers ».

Malgré la tenue virtuelle du colloque, les quatre étudiantes du diplôme d’études supérieures spécialisées en éco-conseil, Audrey Lepage, Mathilde Sauvé Gagnon, Élizabeth Perron et Noémie Boulanger, qui se sont occupées de l’organisation se réjouissent de l’événement. « On est vraiment satisfaites, on avait des inquiétudes avec le fait que ça soit en ligne, mais il n’y a eu aucun problème, on a vraiment été chanceuses », a fait part Élizabeth Perron.

Lors du colloque, on a compté près de 80 participants pour les conférences et environ 60 pour la table ronde.

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