Opération Nez rouge | L’application augmentera l’efficacité

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Grâce au lancement de l’application Nez rouge, deux à trois raccompagnements de plus pourront être effectués par chacune des équipes, estime le coordonnateur de l’Opération Nez Rouge Saguenay, Frédéric Boucher.

L’application mobile est disponible sur App store et Google play. Photo Marie-Pier Lebrun.

L’an dernier, l’application mobile avait été testée au Saguenay, à la suite de la demande de Frédéric Boucher. «Cela a été expérimenté dans le Grand Montréal et puis au congrès de l’an passé j’ai demandé la permission de l’essayer au Saguenay également. Étant donné que je travaille dans le domaine du transport, je voyais vraiment le lien et la pertinence», explique Frédéric Boucher.

«En plus cette année, on va pouvoir être en mesure de savoir où sont situées les équipes qui vont utiliser l’application, sans avoir besoin d’appeler, donc ça va améliorer l’efficacité de travail du répartiteur», explique le coordonnateur Opération Nez rouge Saguenay, Frédéric Boucher

Pendant ses études, Simon Levesque a œuvré à titre de bénévole pour Opération Nez rouge Saguenay en tant que répartiteur. N’ayant pas vécu l’arrivée de l’application mobile, celui-ci témoigne que ce sera un outil très utile.

La façon de communiquer entre les bénévoles se renouvelle, tout comme l’équipe de l’Opération nez rouge Saguenay, qui depuis quelques années accueille de plus en plus de jeunes. L’an dernier l’équipe des bénévoles était constituée à presque 50% de jeunes, indique le coordonnateur.

Ambiance d’être en gang

Les entreprises ont un grand impact sur le taux de participation des bénévoles. On pense entre autres à Desjardins aux niveaux provincial et régional et à Rio Tinto. «Rio Tinto a toujours une soirée où environ sept équipes sont sur la route», confirme Frédéric Boucher.

L’ambiance est vraiment bonne, il y a des jeux de cartes, des gens se déguisent et les bénévoles sont vraiment heureux d’y être. «Pour l’avoir maintenant fait à Québec également, je me rends compte que pour le Saguenay c’est assez gros comme organisation», raconte Simon Levesque.

Simon Levesque (à droite) et son équipe de bénévoles. (Photo courtoisie)

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