Le Royaume des patinoires extérieures

214
0
Partagez :

La Ville de Saguenay s’illustre en offrant pas moins de 52 patinoires extérieures pour les adeptes des sports de glace.

La patinoire du parc Saint-Laurent, située sur la rue Saint-Dominique à Jonquière, a récemment été rénovée et offre aux adeptes un lieu au goût du jour.

Une fois de plus, le constat est frappant lorsque Saguenay est comparé à des villes semblables quant au nombre de surfaces glacées extérieures. En ce qui a trait aux villes de Sherbrooke, Trois-Rivières et Lévis, elles comptent respectivement 69, 30 et 19 glaces extérieures. Ces résultats ont été compilés à l’aide des statistiques divulguées par les différentes villes.

La Ville de Saguenay se sépare en plusieurs secteurs, soit Chicoutimi-Nord, Chicoutimi-Sud, Laterrière, Arvida, Jonquière, Kénogami, Lac-Kénogami, Shipshaw et La Baie. Parmi ceux-ci, c’est Chicoutimi-Sud qui propose le plus grand nombre de surfaces glacées avec 16, Jonquière suit avec 11 et Arvida complète le podium avec un total de 8 patinoires.

«C’est une grande fierté. L’important pour nous, c’est d’offrir ce service, cette opportunité à la population. En plus de proposer grand nombre de patinoires, on a la chance d’avoir beaucoup d’arénas au Saguenay», a admis le président de la Commission des sports et du plein air à Saguenay, Michel Thiffault.

Ce dernier se réjouit également de l’arrivée de la patinoire Bleu Blanc Bouge. Le début des travaux est prévu pour l’automne 2021. «Les fervents des sports de glisse sont choyés», ajoute-t-il.

Le programme Bleu Blanc Bouge, initié par la Fondation des Canadiens pour l’enfance, a pour but d’aménager des patinoires extérieures réfrigérées et multisports dans les villes du Québec. Le Patro de Jonquière accueillera ce qui pourrait être la 60e patinoire au Saguenay.

Le directeur des communications à la Ville de Saguenay, Jeannot Allard confirme également qu’il y a une étude d’achalandage des patinoires à chaque fin de saison. «Dans les dernières années, on a fermé des glaces puisqu’elles étaient sous-utilisées.»

Partagez :