Retour des bals : des finissantes comblées

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« Penser à ma robe de bal, ça m’a souvent permis de réussir à passer à travers mon parcours scolaire », affirme l’une des finissantes de l’École secondaire Charles-Gravel, Marie-Laurence Fillion.  Après plus de deux ans d’absence, le traditionnel bal des finissants fait son retour pour le plus grand bonheur des finissantes qui rêvent depuis longtemps de leur robe idéale.

Cette année, la simplicité est le mot de l’heure. Les fleurs, les brillants, les couleurs plus neutres et le satin sont les éléments à la mode. (Photo : Courtoisie)

« J’avais hâte de savoir parce que ma robe de bal est déjà achetée depuis le mois de novembre. Peu importe si je devais faire seulement une arrivée comme on en a vue dans les deux dernières années ou des photos, c’était hyper important pour moi de souligner la fin de cette étape avec la robe dont j’ai souvent rêvé », poursuit Marie-Laurence Fillion.

La situation de la finissante n’est pas unique, puisque les différentes boutiques de robe de bal de la région remarquent un grand engouement et ce, depuis le début de l’année scolaire.

« Les rendez-vous d’essayage n’ont jamais arrêté! Depuis plusieurs mois déjà, les jeunes filles viennent en boutique essayer des robes. On sentait leur désir d’avoir une robe peu importait s’il y a un bal ou non », constate la copropriétaire de la boutique Daniell’C, Daniella Canteteau.

À gauche, la copropriétaire de la boutique Daniell’C, Daniella Canteteau (Photo : courtoisie)

Chez Mariage & Bal Cendrillon en folie, le bilan est le même, peu importe la forme des célébrations, les finissantes veulent se procurer la robe parfaite. « On a déjà vendu plusieurs robes et plusieurs jeunes filles sont également venues faire des essayages en attendant de voir l’évolution de la situation », explique la propriétaire de la boutique Mariage & Bal Cendrillon en folie, Christine Roy.

À la suite de l’annoncé du retour des bals, Mme Roy confirme que le téléphone de la boutique ne dérougit pas. Les jeunes filles veulent venir faire d’autres essayages ou même venir chercher la robe qui leur était tombée dans l’œil.

« On se montrait des photos de nos robes et on avait tellement hâte! Dans mon groupe d’amies, on les avait toutes achetées. On s’était dit que si on n’avait pas un vrai de vrai bal on allait se faire un événement notre gang ensemble. C’est encore mieux de savoir maintenant qu’on va avoir le droit de fêter et qu’on est les premiers en deux ans à pouvoir le faire », confie Marie-Laurence.

 

 

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