Le bloquiste Mario Simard affirme s’inspirer de multiples figures indépendantistes dans sa carrière politique, comme René Lévesque et Jacques Parizeau. Pour lui, le député provincial de Jonquière, Sylvain Gaudreault, compte parmi ces grands modèles.
Le candidat bloquiste dans Jonquière, Mario Simard, était de passage au Cégep de Jonquière le 2 octobre pour participer à un débat avec les autres candidats du comté.
Le professeur de sciences politiques à l’UQAC est aussi un passionné de lecture. Grand amateur de poésie, il dévore dans ses temps libres les œuvres des poètes québécois Albert Camus et Gaston Miron.
Le natif de Kénogami confie toutefois qu’il a actuellement moins de temps à consacrer à la lecture et à sa famille, puisque la campagne électorale prend la majeure partie de son temps. «Je ne me serais pas lancé en politique si mon fils n’était pas assez vieux. Il est au cégep maintenant, à un âge où il peut prendre des responsabilités.»
Ancien attaché politique du néo-démocrate Claude Patry, il s’implique dans le monde politique depuis le référendum de 1995, qui a été un éveil pour lui. «Après cette défaite, on avait deux choix. Soit on chialait, soit on choisissait d’avancer. Moi, j’ai choisi la deuxième option», dit-il en terminant.
Originaire de Saint-Augustin-de-Desmaures, on pourrait décrire Antoine Pelland-Ratté comme un véritable amoureux de la pensée. Jouer l’avocat du diable, explorer de nouveaux concepts atypiques et s’impliquer dans des projets diversifiés font partie de ses activités favorites qui définissent pleinement sa personnalité et ses intérêts.
Il tire d’ailleurs ce petit penchant pour les loisirs intellectuels de son parcours sinueux à travers tous les domaines de l’art et des sciences humaines. On parle ici de musique, de théâtre, de dessin, de peinture, de sculpture, d’histoire, et bien sûr, de politique. En effet, son implication politique dans la vie étudiante est ce qui justifie le mieux son penchant revendicateur. C’est d’ailleurs cette vive passion pour l’apprentissage des rouages de la politique qui l’a mené, en 2017, à s’enraciner en Art et technologie des médias, dans le profil « journalisme ».
Après ses études collégiales, il envisage de réaliser un Baccalauréat intégré en relations internationales et affaires publiques à l’Université Laval, afin d’acquérir au travers de son parcours des compétences qui lui permettront d’enjoliver sa communauté, et ce, à travers l’art de la politique.