Pour le candidat libéral Vincent Garneau, c’est son ancienne patronne, la ministre des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, qui l’inspire dans son parcours en politique.
Le candidat Parti libéral du Canada, Vincent Garneau, était de passage au Cégep de Jonquière mercredi pour participer à un débat avec les autres candidats du comté de Jonquière.
«C’est une personne incroyablement brillante, qui se tient debout et qui a toujours un plan. Elle veut changer les choses. Moi, c’est ça qui m’anime. Je fais ma campagne un peu à l’image d’elle qui fait ses batailles», souligne-t-il.
Pour le candidat originaire de la région, le départ de sa famille pour des raisons économiques au début des années 2000 a été l’élément déclencheur à son implication en politique. «On a dû quitter pour l’emploi de mes deux parents. Déménager comme ça, c’est quand même quelque chose de gros. Je ne veux pas que l’histoire de ma famille se reproduise tout le temps.»
L’ancien chef de cabinet de la ministre Freeland a aussi été inspiré par une de ses cousines qui avait écrit un livre. «Ça faisait longtemps qu’elle voulait en écrire un et ça m’a aussi inspiré à mettre en marche un projet, celui de faire campagne. Ce qui m’a beaucoup inspiré là-dedans, c’est l’idée de passer à l’action», ajoute-t-il.
Originaire de Saint-Augustin-de-Desmaures, on pourrait décrire Antoine Pelland-Ratté comme un véritable amoureux de la pensée. Jouer l’avocat du diable, explorer de nouveaux concepts atypiques et s’impliquer dans des projets diversifiés font partie de ses activités favorites qui définissent pleinement sa personnalité et ses intérêts.
Il tire d’ailleurs ce petit penchant pour les loisirs intellectuels de son parcours sinueux à travers tous les domaines de l’art et des sciences humaines. On parle ici de musique, de théâtre, de dessin, de peinture, de sculpture, d’histoire, et bien sûr, de politique. En effet, son implication politique dans la vie étudiante est ce qui justifie le mieux son penchant revendicateur. C’est d’ailleurs cette vive passion pour l’apprentissage des rouages de la politique qui l’a mené, en 2017, à s’enraciner en Art et technologie des médias, dans le profil « journalisme ».
Après ses études collégiales, il envisage de réaliser un Baccalauréat intégré en relations internationales et affaires publiques à l’Université Laval, afin d’acquérir au travers de son parcours des compétences qui lui permettront d’enjoliver sa communauté, et ce, à travers l’art de la politique.