Victor Bond : savoir créer sa chance

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Finissant de 2020 en production télévisuelle en Art et technologie des médias (ATM), Victor a tout de suite su faire sa place dans le milieu. Il a déjà travaillé en tant qu’assistant de production sur deux Bye Bye et il est auteur et réalisateur sur la revue de fin d’année SCRAM qui est produite par Juste pour rire. Il constitue un très bon espoir pour la relève.  

Âgé seulement de 23 ans et diplômé depuis maintenant trois ans Victor a déjà un parcours à rendre jaloux certaines personnes. Malgré son jeune âge il a travaillé sur des productions d’émissions de grande envergure au Québec telles que District 31 et Plan B. 

Passionné depuis son jeune âge par la télévision, il a adoré son passage en Art et technologie des médias. « J’ai eu la chance d’essayer plusieurs choses puisque j’étais à l’école, donc j’ai beaucoup appris », explique le jeune homme.  

Depuis la fin de son parcours en ATM il est auteur de la revue SCRAM. Cette revue de fin d’année, un peu comme les Bye Bye, revient sur les moments qui ont marqué l’année. Elle est disponible sur le web et sera présentée sous forme de différents skecths à partir du 27 décembre. Ce projet qu’il réalise avec d’autres finissants de sa cohorte lui a permis de travailler avec des grands noms de la télévision québécoise, dont de côtoyer Guy Jodoin et Chantal Lamarre.  

Créer sa propre chance 

Ce n’est pas par chance que Victor Bond ne cesse d’accumuler ces belles opportunités, mais dû à son travail acharné et à sa détermination. « C’est vraiment un métier de contact, et bien, je les ai créés moi-même ces contacts », explique-t-il. Ne reculant devant rien pour réaliser ses objectifs, il a lui-même contacté les gens du Bye Bye « J’ai regardé les génériques et je me suis proposé aux régisseurs », raconte-t-il avec le sourire.  

Déterminé dès son plus jeune âge 

Pour Jean-François Déry, enseignant en production télévisuelle au Cégep de Jonquière, il n’est pas surprenant de voir où est rendu le jeune homme sur le plan professionnel. « Il a été mon étudiant lorsqu’il était en deuxième année et dès cet âge il avait un très grand potentiel », dit-il. De plus, Victor Bond représentait une mine de savoir pour son enseignant lors de son parcours au collégial. « Il savait tout sur toutes les productions québécoises, alors c’était vraiment intéressant quand venait le temps de travailler avec », avoue son ancien professeur. Pour M. Déry, Victor représente une très belle relève.   

Victor Bond alors qu’il travaille en tant qu’accessoiriste sur un de ses nombreux projets. (Photo: Victor Bond)

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