Le Snow Jam de retour à l’UQAC
L’ambiance est à son comble au Snow Jam de l’UQAC. L’évènement est de retour cette année avec de nombreuses activités ouvertes au public, et ce jusqu’au 17 février 20 heures.
Justin Lussière en train de dévaler la pente.
Organisé par l’UQAC, le Snow Jam est un festival qui comporte différents volets et qui a pour objectif de faire la promotion du ski ou de la planche à neige.
Dans un premier temps, les étudiants de l’université sont invités à descendre la pente de neige en planche à neige ou en ski afin de faire quelques figures sur les rampes installées.
« Il y a des compétitions de sumos, on a de la sculpture sur neige, on a du “beer pong” géant et nous avons la descente qui est l’activité principale », a mentionné une des responsables de la programmation et de l’animation, Laurie Dulong.
Ce n’est pas la première édition du Snow Jam, mais avec la pandémie un arrêt a dû être nécessaire pour reprendre de plus belle l’an dernier. « C’est connu au sein de l’UQAC, quand on parle de Snow Jam, les gens savent de quoi on parle, ça fait partie de la vie étudiante des gens de l’université », a affirmé l’organisatrice.
Évènement rassembleur
Pour l’organisatrice, ce projet permet de rassembler les différentes cohortes. « J’aime la création d’évènement, la préparation d’évènement et c’est en lien avec le plein air. C’est avec des gens de ma cohorte, ça tisse des liens forts et c’est une belle activité à mettre en place »
« C’est un bel évènement avec plein de monde, tous mes amis. On a du “fun”, on se fait du “fun” », a expliqué un étudiant en plein air, Justin Lussière, juste après avoir descendu la pente, jeudi après-midi.
Le prix d’entrée est gratuit pour le Snow Jam et il se poursuit vendredi de 15h à 20h. « Vendredi soir on a une compétions de 18h à 20h avec des gens qui sont professionnels dans les figures de planche à neige et de ski », a dit l’organisatrice.
Les autres activités comme la lutte de sumos, la sculpture sur neige et les repas sont offertes à toute la population du Saguenay.
